• Blog
  • Contact
  • Qui sommes-nous ?
  • Plaintes
  • Jobs
  • MyDVV

Pension et protection

Protégez votre situation financière en cas d’incapacité de travail ou de décès

La vie vous sourit. Vos affaires se développent comme vous le souhaitez et vous avez des projets plein la tête. Mais que se passerait-il en cas de souci de santé ou d’accident? Qui continuerait à payer les factures ou à rembourser les crédits ? Voici 4 conseils pour vous protéger financièrement – vous, votre famille et vos activités professionnelles.

1. Assurez-vous un revenu garanti en cas d’invalidité

Aucun indépendant n’est à l’abri d’une incapacité temporaire de travail. Selon l’INAMI, le nombre de maladies de longue durée a augmenté de 70 % en Belgique en 10 ans. En 2019, près de 470.000 personnes ont été en arrêt maladie pendant plus d'un mois et près de 450.000 en invalidité pendant plus d'un an.

Les principaux responsables de cette évolution inquiétante ? Le burn-out et la dépression, qui représentent 17,32 % de toutes les incapacités de travail de longue durée chez les indépendants. Or, le filet de sécurité des indépendants est moins efficace que celui des salariés. L’indépendant qui ne peut plus travailler en raison d’un accident ou d’une maladie, ne touche rien la première semaine. Ensuite, sa mutuelle lui verse une indemnité journalière assez faible et souvent insuffisante au maintien de son train de vie.

La solution ? Une assurance Revenu Garanti liée à la Pension libre complémentaire pour indépendants (PLCI) ou à la Convention de pension pour travailleurs indépendants (CPTI) pour les indépendants sans société, et à l’Engagement individuel de pension (EIP) pour les dirigeants d’entreprise indépendants.

En cas d’incapacité de travail économique de 25 % ou plus, cette assurance complémentaire vous verse chaque mois un montant convenu lors de la souscription et s’élevant à maximum 80% de votre revenu brut (après expiration du délai de carence). Le montant versé sera proportionnel au degré d’incapacité de travail, et correspond à un pourcentage de la rente d’invalidité choisie.

2. Pensez aussi à protéger votre pension

Bien souvent, un malheur n’arrive jamais seul. Vous ne pouvez plus exercer votre activité de manière temporaire ou permanente à cause d’une maladie ou d’un accident ? Il y a de fortes chances que vous ou votre société ayez aussi des difficultés à verser les primes de pension dans vos contrats PLCI, EIP ou CPTI. Vous ne pourrez alors plus continuer à vous constituer de pension complémentaire.

Grâce à une assurance complémentaire Exonération de primes, vous êtes sûr que les primes de votre plan de pension seront payées pendant toute la durée de votre incapacité de travail.

3. Protégez vos proches en cas de décès

Même si vous préférez ne pas y penser, le risque de disparaître avant l’âge de la pension existe lui aussi. D’après Statbel, l’office belge de statistique, l’espérance de vie était de 80,8 ans en 2020 (83,1 ans pour les femmes, 78,5 ans pour les hommes), mais 11 % des personnes ayant aujourd’hui 45 ans n'atteindront pas 67 ans.

Pour votre tranquillité d’esprit et celle de votre famille, ajoutez une assurance décès à votre pension complémentaire (PLCI, EIP ou CPTI). Vous éviterez d’éventuelles difficultés financières à vos proches. Si vous venez à décéder prématurément, ils disposeront d’un capital pour faire face aux droits de succession, pour continuer à financer les crédits en cours ou les études des enfants. Tandis que vous bénéficiez dès aujourd’hui des avantages fiscaux liés aux produits de pension complémentaire.

4. Signez un pacte d’actionnaire

Vous êtes dirigeant indépendant d’une société et avez un ou plusieurs associés ? Le décès de l’un d’eux peut ouvrir la porte de votre entreprise à de nouveaux actionnaires, comme les héritiers du défunt. Est-ce réellement dans l’intérêt de l’entreprise ? En tant qu’actionnaire actif, ne vaudrait-il pas mieux racheter les parts du défunt pour assurer sa pérennité ?

Via un pacte d’actionnaires, vous pouvez prévoir qu’en cas de décès, les associés survivants auront le droit de racheter en priorité les actions du défunt. Pour financer cet investissement imprévu et important, les associés peuvent chacun souscrire une assurance décès en désignant les autres associés comme assurés. En cas de décès de l’un des associés, les autres recevront un capital prédéfini qui leur permettra de racheter ses actions.

DVV est là pour vous

Ne laissez pas de malheureux événements influencer votre avenir financier, celui de votre famille et de votre entreprise. Prenez soin de vous et prenez dès aujourd’hui les mesures nécessaires pour avancer dans la vie l’esprit tranquille. Discutez-en avec votre conseiller DVV pour trouver les solutions adaptées à votre situation.  

Publié le 23/09/2022

Ceci pourrait aussi vous intéresser

La newsletter de DVV

Votre adresse e-mail sera utilisée uniquement dans le cadre des newsletters de DVV assurances.

Une question ?
Besoin d'aide ?

Il y a toujours un conseiller DVV près de chez vous. Plus de 1.000 conseillers vous attendent dans plus de 290 agences.

Choisissez un conseiller